Page 32 - Extrait du livre La Paracha Séfer Béréchit Leket Eliaou - Eliaou Hassan
P. 32
Parachat Vayigach
« Si vous voulez faire Téchouva sur ce que vous avez fait, ne soyez pas
tristes ! Car la Téchouva doit se faire dans un esprit de Sim’ha, de joie ! »
Lorsqu’une personne fait Téchouva, elle doit avant tout entrer la joie
dans son cœur ! La joie d’être à présent dans le droit chemin. Il faut
donc mettre colère et tristesse de coté.
Le Rav raconte ensuite :
Un jour, son père le voyant le visage attristé, l’appela et le réprimanda
durement. Celui-ci demanda pour quelle raison il se faisait ainsi
réprimander alors qu’il commettait des actes parfois bien plus graves que
d’être triste sans que son père ne lui en fasse reproche. Son père lui
répondit : « Lorsque tu commets une faute, tu comprends
rétrospectivement que ton acte est répréhensible, et tu fais immédiatement
Téchouva sur cette mauvaise action. Par contre lorsque tu es triste, tu ne
penses pas du tout faire quelque chose de mal et sur cela tu ne t’appliques
pas à te repentir.
On rapporte de l’un des plus grands Rabbanim contemporains :
« Ce que la tristesse engendre, aucune autre faute ne peut
l’engendrer ! »
Il est intéressant de voir que nous avons dans notre Paracha une autre
illustration de la gravité de la tristesse et de ses effets :
Nous savons que Yaacov était animé d’un esprit prophétique
extraordinaire, comment expliquer dans ce cas qu’il fut incapable de
« voir » durant ces vingt-deux années que Yossef n’était pas mort ?
‘Hazal nous répondent que lorsqu’il apprit la nouvelle de sa disparition, il
s’attrista, et à cause de cela, son esprit prophétique disparut !
Pour réapparaître à quel moment ?
« Ils lui dirent toutes les paroles que Yossef leur avait dites, il
(Yaacov) vit les chariots que Yossef avait envoyés pour l’emmener,
et la vie revint au cœur de Yaacov leur père. »
(Ch. 45 ; verset 27)
484
« Si vous voulez faire Téchouva sur ce que vous avez fait, ne soyez pas
tristes ! Car la Téchouva doit se faire dans un esprit de Sim’ha, de joie ! »
Lorsqu’une personne fait Téchouva, elle doit avant tout entrer la joie
dans son cœur ! La joie d’être à présent dans le droit chemin. Il faut
donc mettre colère et tristesse de coté.
Le Rav raconte ensuite :
Un jour, son père le voyant le visage attristé, l’appela et le réprimanda
durement. Celui-ci demanda pour quelle raison il se faisait ainsi
réprimander alors qu’il commettait des actes parfois bien plus graves que
d’être triste sans que son père ne lui en fasse reproche. Son père lui
répondit : « Lorsque tu commets une faute, tu comprends
rétrospectivement que ton acte est répréhensible, et tu fais immédiatement
Téchouva sur cette mauvaise action. Par contre lorsque tu es triste, tu ne
penses pas du tout faire quelque chose de mal et sur cela tu ne t’appliques
pas à te repentir.
On rapporte de l’un des plus grands Rabbanim contemporains :
« Ce que la tristesse engendre, aucune autre faute ne peut
l’engendrer ! »
Il est intéressant de voir que nous avons dans notre Paracha une autre
illustration de la gravité de la tristesse et de ses effets :
Nous savons que Yaacov était animé d’un esprit prophétique
extraordinaire, comment expliquer dans ce cas qu’il fut incapable de
« voir » durant ces vingt-deux années que Yossef n’était pas mort ?
‘Hazal nous répondent que lorsqu’il apprit la nouvelle de sa disparition, il
s’attrista, et à cause de cela, son esprit prophétique disparut !
Pour réapparaître à quel moment ?
« Ils lui dirent toutes les paroles que Yossef leur avait dites, il
(Yaacov) vit les chariots que Yossef avait envoyés pour l’emmener,
et la vie revint au cœur de Yaacov leur père. »
(Ch. 45 ; verset 27)
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